Fêtes Patronales
Ça y est ! C’est parti ! Les vide-greniers, brocantes et fêtes patronales des trente-trois villages de notre chère paroisse. Quasiment tous les dimanches jusqu’au mois de septembre, il y a une messe patronale. La tradition dépasse d’ailleurs largement notre paroisse. C’est une belle tradition. Je vois 3 raisons d’assister à ces messes :
- « Faire ses Pâques » – c’est une analogie. Je sais bien que vous avez tous déjà fait vos Pâques – Confession et communion annuelle. C’est le minimum vital. Si je ne communie plus, et si je ne me confesse plus, je vais m’éteindre, tout doucement. Ma vie spirituelle a besoin d’une vie sacramentelle, au moins une fois par an. En faisant plus, je grandis et j’avance à grandes enjambées. L’église d’un village a besoin de sa messe patronale une fois par an pour vivre. Au moins une fois par an. C’est le minimum vital. En participant à ces messes, vous participez à la vie des églises de ces villages
- « S’enrichir ». Culturellement et spirituellement. Enrichir sa découverte et sa connaissance du Perche et de ses villages merveilleux. Et du coup enrichir son amour du Perche. Il y a des trésors. Des bijoux. Des merveilles cachées à deux pas de chez vous.
- « Répartir les masses ». Je pense à quelques dimanches ou certains risquent de ne pas avoir de place s’ils arrivent à leur heure habituelle (c’est-à-dire à peu près pendant le chant d’entrée). Dimanche 4 juin (Professions de foi) ; Dimanche 11 juin (Premières communions). Il ne faut bien sûr pas fuir ces messes magnifiques où votre présence de fidèles fervents porte une assemblée hétéroclite. Mais il n’est pas illégitime ce jour-là d’aller visiter un clocher voisin pour laisser un peu de place aux familles nombreuses. Si vous êtes matinale, vous pouvez également venir goûter chant Grégorien à la messe de 9h.
Et faites de la pub dans vos villages lorsqu’il y a la messe, il faut remplir l’église ! Pas de messe, pas de brocante.
On prie bien pour tous les enfants qui vont vivre ces différentes étapes de leur vie chrétienne.
